Les 3 lois fondamentales de l’Amour
Voici un peu de théorie pour comprendre l’univers des constellations familiales. Tu pourras certainement te reconnaitre dans l’une de ces lois.
Je peux t’aider dans ton cheminement. Grâce à ta carte du ciel et la conversation que nous aurons ensemble, nous identifierons ton potentiel dormant
1- L’appartenance :
Tu appartiens à ton mon clan peu importe ce qu’il se passe, que tu sois d’accord ou pas. Ta mère ou ton père, même si tu ne veux pas les voir restent tes parents. Tu ne peux le changer. Tu es porteur du karma du clan, de ses gênes. C’est la loyauté.
Parfois ce n’est pas si mal. Par exemple, on devient médecin de mère en fille dans la famille.
D’autres fois, c’est plus pénible comme l’alcoolisme.
2- L’ordre :
On parle de l’ordre établi, la hiérarchie. L’autorité parentale repose sur les parents et non sur l’ainé de la famille. Le parent donne à l’enfant, pas le contraire, sinon on parle d’ordre inversé. Si le parent est incompétent, l’enfant fait beaucoup de choses pour que le parent l’aime.
Exemples d’ordre inversé : l’ainé de la famille qui devient un poteau de vieillesse. La fille abusée par son père devient inconsciemment la conjointe de celui-ci, etc.
3- L’équilibre :
Équilibre entre donner et recevoir. Ce n’est pas toujours au même à parler, à recevoir, à donner, à téléphoner. La solution est souvent de le nommé. Exemple : « C’est toujours moi qui reçois à Noël. C’est beaucoup de travail et ça coûte cher. J’aimerais partager cette tâche avec les autres membres de la famille. Chacun son tour. »
Les dynamiques familiales
Les recherches du fondateur ont identifié plusieurs dynamiques familiales, c’est-à-dire des problèmes récurrents que l’on retrouve dans toutes les familles. Tous les clans peuvent identifier au moins une de ces dynamiques. Je te les explique ci-dessous avec des exemples pour comprendre.
1. Négation de sa propre valeur :
Finir par croire ce que les autres disent comme : « T’es comme ta mère! T’as pas le droit de réussir! T’as pas le droit d’avoir une maison! T’as pas le droit à l’amour! »
Ainsi, tu auras de la difficulté à t’affirmer, à avoir confiance en toi et ne jamais te sentir à la hauteur. Tu auras tendance à te sacrifier.
Imagine maintenant que tu ressens de la fierté! Fier de pouvoir compter sur toi! D’être autonome autant au niveau affectif que financier.
2. Mouvement interrompu (95% des cas) :
« Papa dit qu’il m’aime, mais je ne le sens pas. » Il n’y a pas de lien d’attachement. Ce lien peut être brisé à tout âge.
Tu as peut-être vécu une de ces situations : adoption, trouble d’attachement, être élevé par d’autres, difficulté d’entrer en relation avec les autres, décès subit.
Imagine maintenant que tu te sens en paix avec toi-même, car tu as appris à t’aimer. Tu as aussi un autre regard sur tes parents et tu as compris les forces que tu as acquis au fil du temps grâce à eux malgré tout.
3. Appartenance à son clan (Loyauté même si…):
« Je te suis dans ton destin, ta maladie, ta faillite, etc.
Si maman est malade, moi aussi. Si papa fait faillite, moi aussi. Si les femmes de mon clan sont agressées, moi aussi. Si mes parents étaient intimidés à l’école, moi aussi. etc
Tu peux te sentir anxieux, en colère sans toujours savoir pourquoi. Tu peux aussi te sentir impuissant et avoir un sentiment de culpabilité.
Imagine maintenant que tu as cette nouvelle compréhension de ta vie et que tu peux te libérer de cette culpabilité. Tu te sens maintenant légitime et libre.
4. Partager avec mon clan familial :
Un secret, même si je ne le connais pas.
Si ma famille est raciste, moi aussi.
Si ma famille ne parle pas anglais, moi non plus.
Si ma famille est non-croyante ou croyante, moi aussi.
Etc
Ainsi tu as peur de l’inconnu. C’est difficile de faire confiance aux autres et en la vie.
Imagine que tu as maintenant confiance en toi. Maintenant, tu peux faire des choses qui te plait que personne n’a osé faire dans ta famille, car tu as développé le courage, l’ouverture d’esprit.
5. Je partage ton fardeau
« Vaut mieux moi que toi. Je veux mourir à ta place ou être malade à ta place » (de manière inconsciente bien sûr)
Par amour pour son parent, l’enfant veut le soulager de ses souffrances en prenant leurs fardeaux à leur place.
Imagine encore la liberté!
6. J’expie la faute d’un autre à sa place :
Exemple : Le grand-père a fraudé et il n’a pas fait de prison. Une génération plus tard, un petit-enfant fraudera à nouveau, mais c’est lui qui paiera la dette et fera de la prison.
C’est plus rare comme situation, mais imagine te sortir d’une situation répétitive dont tu essaie de te sortir malgré tous tes efforts passés.
7. Je vais souffrir à ta place :
« Je vais me sacrifier »
Exemples : Devenir un poteau de vieillesse. Si tu es homosexuel, tu déménage dans une autre ville pour ne pas faire honte à ta famille. La grande sœur qui devient vieille fille parce qu’elle a élevé ses frères et sœurs.
Imagine prendre TA place!
8. Refus de donner sa juste place :
Refus de donner sa juste place à un membre de sa famille
Exemples : Celui qu’on nomme « la tapette ». Un enfant qui n’a jamais rien de neuf. Les vieux vont tasser le petit. Le mouton noir de la famille.
Ça a aussi de nombreuses conséquences comme se nier soi-même, devenir l’étiquette que tu me donnes, avoir un manque d’attention, besoin de sécurité, d’être aimé, d’être reconnu.
Imagine te sentir solide, en confiance, à ta place, légitime, aimé!
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